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PRECISIONS UTILES POUR NE PAS TOMBER DANS LE PIEGE D'UN NEO-REVISIONNISME QUI N'EST PAS DE MISE SUR CE SITE
Lorsqu'un écrivain écrit: c'est normal - Il est là pour ça ! En théorie, lorsqu'il écrit, il dit même des choses... Ca vaut mieux pour ceux qui le lisent, même si parfois et même souvent depuis quelques années, certains écrivains ne portent ce qualificatif que parce qu'un bouquin est édité avec leur nom sur la couverture; et que le bouquin en question ne contient rien de littéraire ni d'intéressant au sens culturel. (voir au domaine de: "Halte à l'arnaque éditoriale)
Mais quoi qu'il en soit, et quel qu'il soit, l'écrivain est censé écrire ce qu'il pense, imagine, connaît ou a vu de lui-même et des autres. Jusque là, tout le monde admettra le consensus.
Là où ça se complique, c'est que l'écrivain peut faire parler ou agir, des héros, comme des "pas héros du tout" d'ailleurs, dont les principes, les théories et les actes sont en limites de "l'acceptable".
Ces héros et non héros existent dans la réalité. Pour les ignorer, toutes les bonnes raisons peuvent être avancées mais l'expérience montre que plus un "ignoré" l'est, plus il s'exacerbe de l'être, et plus il se mobilise se crée et mobilise des partisans, jusqu'à devenir justement ce que personne n'aurait voulu qu'il devienne. C'est ainsi qu'un "Nazisme" endémique s'est retrouvé en position pandémique entre 1921 et 1945 et a provoqué plus ou moins cinquante millions de morts. Alors, avant de vouloir mal comprendre ce que j'exprime ici et de faire sonner le tocsin, lisez jusqu'au bout et réfléchissez un peu.
L'écrivain peut aussi décrire des pratiques et des fonctionnements sociaux de tous ordres, religieux y compris qui, par leurs caractères, sont totalement en contradiction avec ce qui semble être devenu "le politiquement correct" à un moment donné: de penser et/ou de dire.
L'écrivain peut alors se préparer à être "anathémisé" (pour ne pas dire carrément ATOMISE) par les bien-pensants accrédités, les directeurs de pensées médiatiques, ainsi bien sûr que par ceux-là mêmes dont les comportements sont ainsi mis en lumière par ce qu'il a écrit.
Quand je dis "mis en lumière"... j'utilise un euphémisme; car ces comportements peuvent ne pas dater du jour où il a commencé son bouquin... Ils sont souvent anciens, séculaires même, ils sont archi-connus. Simplement, un ou des évènements, graves ou très graves, voire inacceptables, (selon: l'époque, leurs auteurs et leurs raisons invoquées) sont, entre-temps survenus, changeant ainsi "la donne" qui présidait avant à une sorte de consensus général quant à l'appréciation de ces dits comportements.
C'est ainsi, que l'écrivain hésite trois fois, avant d'exprimer une idée politique... (voir le domaine du site qui en parle justement) Il réfléchit trois heures pour construire une phrase dans laquelle il exprimera que l'un de ses personnages a: la peau noire - basannée - jaune - ou blanche (pour le blanc, personne, de quelque couleur qu'il soit ne s'en formalise vraiment)...
Actuellement, en 2005, l'écrivain se trouve à la limite de devoir s'assurer les services d'un conseil juridique, avant d'aller un peu plus loin, c'est à dire: de révéler qu'un ou plusieurs de ses personnages sont de religion: Juive, Musulmane ou Chrétienne... Plus inquiétant encore, il est presque obligé de, carrément s'assurer les services d'un avocat, lorsqu'il envisage de décrire les "convéniences" sociales qui découlent directement des pratiques individuelles ou sociétales de "ses" personnages.
A noter, que dans cette arène, ne se débattent pas les seuls écrivains... Les artistes de tous poils sont confrontés aux mêmes soucis et sont régulièrement enchaînés sur les bûchers de la première page des journaux nationaux où des émissions télé "moitié-réalité/sensation" "skippées" par des pitt-bulls aux dents longues, uniquement intéressés à se promotionner par la grâce du malheur des autres.
Il est clair que la réalité des sociétés n'a plus bonne presse dans les divers domaines publics que sont ceux de la politique et des médias. Pourtant, les réalités sont de par nature - Réelles". C'est tellement vrai, que personne ne pourra jamais modifier cette vérité !
Par contre, les directives conçues par tout un tas de gens intéressés par la question depuis une vingtaine d'années, ont construit des règles de comportements particulières et étonnantes... qui consistent à éviter de discuter des problèmes gênants et conduisent les citoyens...
- Ceux "d'en haut" - (parce-qu'ils n'en ont rien à faire parce que ce n'est pas leur intérêt pécunier, qu'ils profitent largement de la chose... Et/ou, qu'ils vivent dans des endroits protégés des vicissitudes que ces problèmes causent à ceux qui vivent directement à leur contact)
- Comme ceux " d'en bas" (parce-que sachant qu'ils sont les premiers à subir les conséquences du fait qu'ils feraient seulement semblant de s'appercevoir que ces problèmes existent et qu'ils ne sont pas de nature à entretenir la paix dans l'équité)...
Conduisent donc les citoyens disais-je, à regarder ailleurs, bien au delà de la ligne bleue des vosges lorsque des problèmes à mauvaise haleine, les fixent sans vergogne dans le blanc des yeux, tout en priant bien sûr avec ferveur pour leur paraître invisibles. Ils se font alors sourds - aveugles et muets, en toutes circonstances - C'est devenu une règle, et je la connais bien ! J'ai moi-même été souvent confronté au choix de "faire ainsi".
Lorsque j'ai décidé d'écrire, j'étais parfaitement conscient de ce que cela exigeait de moi de faire des choix !
Ecrire, même s'il pourrait paraître que j'en ai une certaine facilité, signifie -t-il que je suis en droit d'écrire n'importe quoi dès l'instant où le sujet est suffisamment polémique et assorti à la mode du moment pour intéresser un éditeur et des médias avides de coller le sujet et si possible son auteur, au pilori de leur public d'inconditionnels et donc à leur tabeau de chasse ?
Ecrire en suivant les sujets "tendance", en ayant le bon goût de ne pas entrer dans des polémiques pièges risquant de me faire tomber moi-même dedans ? Donc planter des décors pour y faire évoluer des sujets "bateaux" genre: "un dé à coudre pour dix couturières" - "un string pour huit évaporés - ou comment ôser passer la porte de l'arrière salle d'un bar de la rue des archives" ?
Ecrire pour parler du mérite des grands de ce monde, passés ou présents, à la retraite voire oubliés ?
Ecrire sur le malheur des gens ? Sur les amours immortels, pour des lecteurs(trices) qui n'en connaîtrons jamais la plus petite sensation ?
Ecrire des trucs qui ne sortiront jamais d'un tiroir ?
Non pas, mais sinon que je ne sache pas si tout ce que j'écris, sortira ou non du tiroir un jour,
J'ai décidé d'écrire:
Ce que j'ai appris, de moi-même et du monde.
Ce que j'étais toujours en train d'en apprendre et écrire.
Ce que j'imagine que pourrait devenir le monde en utilisant la reflexivité philosophique et la relation reflexive mathématique. (qui a dit que la philo et les maths de se cotoyaient pas ?)
Et, en tous cas, d'écrire tout cela sans orgueil, sans esprit pédant, tout en sachant moi-même et ne le cachant à personne, que je suis un auto-didacte complet, d'une vie dans laquelle je n'ai jamais hésité à me plonger, du bout des doigts à la racine de chacun de mes poils.
Et surtout:
Sans jamais exiger, que qui que ce soit, pense que je pouvais en être plus savant que lui.
Pour être en phase avec ces principes, j'ai lu, beaucoup, j'ai vécu, beaucoup aussi, et je me suis documenté sur beaucoup de choses. Mais sachant que j'aborderais certainement des sujets pouvant fâcher nombre de gens, que leurs propres vérités publiquement exprimées pourraient mettre "mal à l'aise", j'ai porté une attention toute particulière à ce qu'eux-mêmes expriment ou écrivent à propos d'eux-mêmes et de leurs pareils.
Aussi est-ce là, la raison de ce petit domaine que j'ai appelé:
" EUX-MÊMES LE DISENT, PAS MOI...! - ALORS ? "
Cela dans l'objectif exposé, de pouvoir renvoyer à leurs chères études et aux images qu'ils se sont fabriqués d'eux-mêmes comme à celles qu'ils se sont fabriqués des autres, tous ceux qui pourraient se sentir enclins à me "faire payer un cheval que je n'aurais pas acheté" à propos de ce que je serais susceptible d'écrire qui ne leur plairait pas.
Dans ce domaine vous trouverez (au fur et à mesure du temps) toute une pléthore de documents et de sites conçus, webmastés et nourris exclusivement par des gens de toutes origines ethniques, nationalités, tendances politiques ou confession qui soient. Je n'ai pas d'état d'âme particulier à les y référencer étant donné que chacun de ceux qui les trouveront ici, pourraient, s'ils en étaient curieux, les trouver par eux-mêmes aux endroits où je suis moi-même allé les chercher.