Présentation du site "Les Gouttes d'Encre"
& Règles d'utilisation -

3 (petites) pages de présentation du site et l'auteur
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bas de chacune de ces page vous "cliquez" / vous "returnez" sur "j'accepte"
c'est prévu pour vous amener directement sur les textes.

Bienvenue sur mon site littéraire
Benvenuti sul mio sito litterario
Welcome on my literay site

Ce site est imaginé par Michel-Louis LEONARD.
Architecturé ordonné et "Webmasté" par Lora.

Dernière modification - le mercredi 31 Janvier 2007

Bonne année 2007 avec moi et: http://www.sarkozy.fr/

CA VA CHANGER PARTOUT ICI... ON FAIT UN BLOG - C'EST LA MODE ET CE SERA BEAUCOUP MIEUX, INTER-ACTIF ET TOUT ET TOUT
AVEC LE SON EN PLUS !



Si vous désirez vous y rendre de suite, c'est possible mais attention: il n'est pas du tout terminé...

http://lesgouttesdencre.free.fr

et une fois là-bas, cliquez sur "wordpress"... C'est tout !

 

Il y est question de romans - de nouvelles, - de poésies, mais surtout d'idées...


D'idées irritantes pour ceux qui ne veulent rien changer... Jamais !

D'idées, peut-être sans queue ni tête
(c'est à vous de juger) .

Ainsi que de cris de guerre contre certains - privés ou institutionnels - qui brandissent l'oriflamme de l'arnaque
en trompant lâchement à leurs contemporains...


Il y est aussi question de politiques... !
De celles dont personne n'entend parler Parce-qu'elles engagent
à n'utiliser que les vrais mots pour les dire !


(ça c'est pour les initiés d'Iznogoud - cliquez là-dessus juste pour rire)

"François Hollande", "Parti Socialiste", "Ségolène Royal", Je n'aime pas les riches"

Il y est question aussi, et surtout, attaché à ce qui précède
comme un siamois à un autre,

et plus particulièrement dans ces trois pages de présentation

Je sais, je sais, tu n'as plus très envie de lire" camarade", trois c'est beaucoup... Mais tu/vous les ignorer si vous le désirez, en cliquant sur (J'accepte)
en bas à gauche de chaque page
... Et, pas de panique, vous ne risquez rien - pas besoin de regarder ainsi derrière vous car il n'y a personnend'autre que vous-mêmes !

De la communication entre les gens et les cultures en général,
débarrassée des relents nauséabonds que lui donnent les lobbies démagogues et irresponsables, qui s'affichent comme seuls chantres capables de la protéger.

Sans oublier la communication par le moyen de l'Internet
dans le sens de la proposition au public,
comme dans celui de ce que ledit public en fait

Un recueil de textes et de poèmes de ce site, va être édité bientôt sous peu comme on dit. Alors j'ai amputer un petit peu les textes concernés dans la présentation qui en est faite sur le site pour entrer dans les règles voulues par l'éditeur, de manière à ce qu'ils ne paraîssent plus que comme "extraits" - merci de votre compréhension. Toutefois en en faisant la demande, dans l'espace communication, ils pourront vous être proposés par envois spécifiques par Internet. Je vous tiens au courant...!

Les espaces littéraires évoluent
dans l'ajout ou le changement.
(L'écriture étant jalouse, rien n'y est jamais complètement figé)

l'auteur écrit lui-même, sans nègre,
les espaces Liens - Droit et Conseils changent et évoluent
merci donc de votre compréhension.

 

Faire un site, ce n'est pas difficile à proprement parler. Presque n'importe qui peut en réaliser un s'il sait lire, réfléchir et apprendre un peu. Non, ce n'est pas difficile...
Ce qui l'est plus, c'est d'en faire un qui attire des visiteurs.

Par contre, ce qui est carrément un exploit
c'est qu'il offre suffisamment d'intérêt pour que ses visiteurs éprouvent le désir
de s'investir dans une dynamique de communication après l'avoir parcouru...

 

Lorsqu'on circule d'un site à l'autre, pour, dirons-nous, "observer" comment "ça se passe", on relève un tas de choses abérrantes sur des forums dits "littéraires", comme par exemple, (mais il y en a un très grand nombre d'autres): celui du club des poètes de ceci ou cela, on y trouve 80% de la vulgarité, 90% d'ignorance, un maximum d'inculture et de violence par les insultes qui s'approprient les 2/3 de l'espace du forum... On y trouve tout sauf de la poésie. Ce qui m'étonne le plus, c'est qu'un très grand nombre de gens s'y rencontrent et hurlent chacun par des écrits sans plus de structure grammaticale que littéraire - totalement incompréhensibles par le fait - et donc sans écho de personne.

On y trouve même des poèmes et des écrits connus, soit disant écrits par l'auteur mais qui sont en réalité piratés dans des livres ou sur d'autres sites... Il n'existe aucune règle sur ces sites, sinon des règles de comportement théoriques... Mais il est à croire que les gens ne savent pas, ou ne veulent pas considérer que les vraies règles se situent à l'intérieur d'eux-mêmes et non pas dans les lieux qu'ils envahissent. La plupart des forums publics sont pollués par d'innombrables immondices et certainement par des gens qui, dans la vie normale, se déclarent effondrés par la pollution que l'homme répartit partout sur la planète. La pollution planétaire n'existe que par le fait de la pollution de l'esprit des hommes, qui polluent la vie sociétale... Comment peut-il en être autrement ? Et... Comment imaginer un retour majeur à des valeurs qui permettraient d'enrayer ce processus ?

La seule voie qui le permettrait est la plus coûteuse... Les peuples antiques l'ont tous, par force, suivie mais ne s'en sont jamais relevés autrement que par l'opiniâtreté des archéologues. Accepter l'effondrement jusqu'au fond du trou, et remonter à la surface par la progression d'une nouvelle évolution humaine sur d'autres bases et d'autres règles de vie. Mais pour arriver à cela, il faudrait pouvoir ne pas perdre la mémoire de la chute; et ça c'est une autre paire de manches. Est-il encore possible de sauver nos sociétés évoluées du chaos ? Oui, certainement ! Mais à quel prix ? Le plus fort... Celui du sang ! Celui que personne ne pourra éviter de payer parce que personne n'a voulu donner avant, le meilleur de son individualité pour le bien de l'ensemble dont il était membre.

L'actualité est là, bien présente sous nos yeux pour le prouver, à l'endroit même où l'aventure de l'homme pré-moderne a commencé son voyage, là où, si l'allégorie des quatre fleuves se vérifie malgré nous, commencera une chute dont nous ignorons tout des conséquences.

Voilà le genre de débat dans lequel nos sociétés devraient se lancer avant qu'il ne soit trop tard. Mais qui voudra le lancer ce débat ? Quand la démagogie politico-industrielle mène le monde ? Alors que les acquits en polyvalence culturelle de chacun de nous, ont été volontairement réduits à leurs plus simples expressions dans l'objectif (pensaient ceux qui ont préconisés le système) de conserver les rênes des pouvoirs, ad vitam aeternam, au sein de leurs clans ? Et de maîtriser l'avenir de la planète en attendant de maîtriser les richesses de celles qu'ils envisagent de s'approprier dans le futur ?

Peu de chances existent potentiellement pour que ce débat soit engagé un jour, car ceux
(il y en a pourtant quelques uns) qui l'abordent dans leurs écrits, ne font qu'écrire... en précautions, c'est plus facile que d'en parler... Et même s'ils en parlaient sérieusement, encore faudrait-il qu'ils puissent le faire sans entraves et par devant le plus grand nombre d'intéressés pour qu'un résultat se pointe à l'horizon.

Car d'autre part, ceux qui peuvent les comprendre ne représentent qu'une minorité - ceux qui voudraient qu'on le leur explique ne le demanderont jamais - Et la majorité des uns et des autres, s'en fiche éperduement en réalité tant elle s'imagine protégée du chaos par le système de vie qui lui a été imposé en termes de "normalité"...


Pourquoi voudriez-vous qu'un quidam quelconque, mâle ou femelle, se sente concerné par ce que je dis ici et que d'autres disent aussi ailleurs; au point de sauter sans attendre sur leur clavier pour se lancer dans ledit débat en entraînant d'autres quidams avec eux par le fait ainsi provoqué de "la boule de neige" ? Et pourtant, la machine est prête à fonctionner, elle l'a toujours été, il suffit d'appuyer sur le bouton du démarreur.

Oui, c'est tout ce qu'il y a à faire, mais voilà - il est difficile, sinon impossible de quitter son lit douillet - on n'a plus le temps - on a autre-chose à faire -
(à peine 55% des votants inscrits votent; c'est un signe évocateur majeur que la majorité de l'ensemble compte sur sa minorité pour faire le sale boulot à sa place pendant qu'elle va à la chasse, joue au golf, regarde les matches de foot, ou fait semblant de ressembler à un jardinier deux sacro-saints jours par semaine) En cas de problèmes qu'est-ce qu'on fait ? RIEN ! Il y a toujours les tordus des manifestations, qui seront bien 2 ou 3 millions à hurler et sauter dans les rues contre les gouvernements sur l'air des lampions, avec trois merguez entre les dents. Il y aura aussi les grévistes, qui vont bloquer les trains, les métros, les bus et les routes ou les aéroports... Plus graves, et là, personne n'est content, les poubelles vont faire grève elles aussi...

2 ou 3 millions...! Cela ne représente 0,04 % des Français ! Un sondage sérieux se fait, ne l'oublions pas, sur les réponses d'un maximum de 2.000 personnes triées sur le volet. Mais pour les flemmards, c'est bien suffisant pour qu'ils s'auto absolvent de leurs responsabilités. Ne sommes nous pas un peuple qui se targue d'être au dessus du panier question culture ? Alors, bravo ! Montrez-moi de quels matériaux cette culture est constituée... Dites-moi où elle se cache...!

PROFESSION D'IDEE - POURQUOI CONCEVONS-NOUS,
ET ENTRETENONS NOUS DE PAREILS SITES INTERNET ?

Par le fait que - tout au moins dans nos sociétés occidentales modernes, ou considérées comme telles - la population se trouve tellement sollicitée dans son travail comme dans ses loisirs, qu'elle ne dispose plus du temps qui permette aux individus, de réfléchir au sens de leur existence dans une optique d'association avec les autres. D'autre part tout ce qui est livré aux besoins vitaux de la vie, en regard du progrès, et surtout de l'inutile, est créé pour faire l'objet de la plus grande concupiscence de chacun

Cette suppression, organisée, du temps, a écarté, l'individu de son besoin naturel de communication et d'échange avec les autres, dans le sens du contact purement humain, (le besojn d'être et d'agir, de s'amuser ensemble), de l'expression en milieu naturel et de la solidarité.

Les gens ne se "touchent" plus et ne vibrent plus ensemble. S'ils le font: c'est dans un contexte qui leur a été entièrement organisé et dont il ne perçoivent pas l'objectif réel.

Tout ce qui était encore il y a une trentaine d'années - un plaisir - une découverte - une sensation de bien-être - un partage de risque dans la seule notion de communication d'esprit et d'entr'aide - une transmission de savoir - N'existe plus que dans un contexte de compétition; de notion du sentiment d'être le plus fort, le plus malin, le plus riche... (mais bon, celui-là n'est pas vraiment nouveau), celui de se vêtir de la meilleur marque, de porter le parfum le plus à la mode donc le plus cher (celui là non plus d'ailleurs).

Et surtout - celui de ressembler à ceux que le monde de l'industrie, celui de la mode - celui des médias, imposent comme étant le représentant des canons de la beauté, de la jeunesse libérée et de l'adulte en pleine force de l'âge et de la fortune. En fait, un personnage de toutes pièces fabriqué. Hors de ce cliché, point de salut pour l'individu qui ne sait plus accepter d'exister par lui-même et qui ne s'aime plus s'il ne voit pas le respect et l'envie, s'imprimer dans le regard que les autres individus portent sur lui dans la rue.

Une raison particulière de l'existence de ce site est à extraire ce ce qui précède. Elle est relative à "la mise sous cloche" de l'accès à la liberté de diffuser des informations en général, qui est dirigée par deux "mondes" - celui de la politique et celui des médias. Ils se sont appropriés le droit de décider de qui à du talent, de la culture et des connaissances, ou n"en a pas; dans tous les secteurs d'activités de la société. A noter que le monde de l'édition, tous secteurs confondus est soumis à ce principe érigé en état de fait.

Exemple 1: l'année passée, un journaliste a reprit un livre publié aux Etats Unis, traduit et édité en France. L'a transformé en soi-disant manuscrit nouveau, modifiant le titre, et quelques éléments mineurs, dates, noms, prénoms et villes... Très peu de choses en somme. et signé d'un nom très commun, avec son adresse pour renvoi. Il l'a ensuite envoyé à plusieurs éditeurs parmis les plus connus sur la place... Aucun de ces éditeurs, dont celui qui avait édité la version française du livre original, n'a d'abord remarqué le "plagiat", ni donné suite. Mieux encore: il avait relié son manuscrit, de manière à ce que chaque page qui aurait pu être lue, conserve la trace d'une quelconque consultation - un seul exemplaire lui est revenu portant dans la reliure, des marques d'ouverture visibles d'une dizaine de pages. Nous ne parlons pas de lecture - J'avais utilisé moi-même ce dernier point, pour mon premier roman "Les mains pourpres" (voir espace livres) et j'ai pu faire le même constat - trois exemplaires avaient été feuilletés en ventilateur comme le prouvait la disparition du produit - seulement visible avec une lampe U.V, que j'avais pulvérisé sur la tranche des manuscrits. Ce produit ne permettant pas l'erreur, il est difficilement contestable.

EXEMPLE 2 : Lors du Salon du livre de Colmar 2005, je partageais en dédicace avec l'auteur d'un très beau livre sur les arts et traditions sociétals d'une région de France. Je remarquai que son livre était signé par lui-même en seconde position, mais que le nom principal était celui d'une icône truculente et protestataire d'une chaîne télé dans le domaine de la cuisine dite traditionnelle. Son livre se vendait très bien d'ailleurs. Je lui demandai comment il avait connu cet homme d'écran... Il me répndit ceci:

- "Lorsque je proposai mon livre à l'éditeur, c'est lui qui me précisa que mon livre, si intéressant qu'il puisse être, n'aurait aucun succès s'il n'était pas au moins co-écrit par un personnage de l'evergure de Mr XXXX. J'ai accepté sa proposition, et il s'est chargé de la réalisation du contrat pour lequel Mr XXXX perçut un forgait financier substantiel pour accepter de co-signer ce livre avec moi, en faire la présentation sur les plateaux télévisés, et venir le dédicacer dans les manifestations qu'il jugerait en accord avec son image médiatique. En résultat de quoi, le livre se vend très très bien sur tous les salons ou je le présente."

Je tire donc de cette déclaration: qu'un livre entièrement conçu et réalisé par un auteur ou un passionné inconnu, se transforme en "best-seller" dès l'instant où il est co-signé par un homme de médias qui n'a participé à aucun moment à sa réalisation... Cette manière de procéder n'est-elle pas représentative d'une volonté de trmperie publique ? Avis aux amateurs de succès programmés... Qu'on se le dise !

EXEMPLE 3
: Travaillant sur une série policière (des romans), dans le Salon International du Livre de Paris 2006, j'ai recherché des éditeurs "spécialisés" indépendants... et j'en ai trouvé une dizaine. Oui, mais voilà - les trois quarts d'entre-eux m'ont précisé qu'ils n'ont plus aucun pouvoir de décision dans leur entreprise parce-qu'ils venaient d'être acheté par deux grands groupes de presse - les plus connus bien sûr - Désirant en savoir plus, je leur ai demandé si le marché était à ce point si mauvais pour le roman policier -NON, loin de là ! Me répondirent-ils, mais étant donné qu'ils rachètent TRES CHER les entreprises indépendantes - au delà de leur valeur intrinsèque, et qu'ils reprennent la totalité des titres parus ou en cours de parution; et donc les contrats en cours avec les auteurs, il était impossible de ne pas accepter leurs offres "très pressantes".

Or, lorsqu'on sait par l'expérience acquise et les courriers dont je dispose, qui ne laissent planer aucun doute sur la question, si les entreprises ainsi "rachetées", gardent leurs noms et souvent, leurs structures apparentes, elles ne sont en réalité que de subtils décors aux yeux du public. En effet: les auteurs nouveaux ou mal avertis, ignorent que les manuscrits qu'ils envoient à ces entreprises d'éditions, sont en fait communiqués à un seul et unique comité de lecture - celui du groupe propriétaire de fait, qui décide de ce qui doit être édité ou pas.

Compte tenu du fait que la méthode est déja utilisée depuis longtemps dans le monde de la presse et des médias qui ne transmettent plus ou plutôt qui ne matraquent plus, que des "informations" stéréotypées quel que soit le journal papier ou télévisé, la mise sous contrôle du monde de l'édition par les mêmes grands groupes de presse assombrit singulièrement et pour longtemps l'avenir des écrivains comme vous et moi. Que nous soyons romanciers - philosophes ou poètes - Les places sont réservées aux écrivains en place et poste déterminés depuis longtemps.

La rentabilité de leurs écrits est calculée longtemps à l'avance et tout est fait en péripherie pour promotionner leurs oeuvres dont on peut se demander parfois, comment elles peuvent si bien coincider avec des évènements sociaux qui eux, en théorie, viennent de naître tout au plus une semaine ou quinze jours avant...!

Qui sont les élus ? D'une part: les grands philosophes - les grands avocats - les grands sportifs - les grands journalistes - Les hommes politiques dont on pense qu'ils peuvent être "ministrables" - Et d'autre part: les hommes ou les femmes qui, par leur proximité avec eux, ou les sujets d'ordres professionnels qu'ils traitent, représentent les meilleurs faire-valoir des premiers.

Il existe bien parfois quelques "auteurs", qui passent à travers les mailles du filet, mais il n'est pas besoin d'observer beaucoup, pour constater qu'ils ne sont mis en lumière que dans la mesure ou une situation sociale donnée, réclame une mise en lumiere d'un point de vue qui émane de la base sociale, et/ou dans le but de servir à infirmer tout discours protestataire de cet état de fait, qui tendrait à vouloir prouver le contraire.

Le pouvoir est dans les mains de ceux qui tiennent d'une manière ou d'une autre les rênes de la politique et de l'information. S'ils ne s'opposent pas publiquement, la raison est que le système ne peut "tenir", que s'il apparaît publiquement comme étant solidaire. Les hommes visibles et audibles peuvent s'inter-changer, mais le système jamais. Il ne peut perdurer qu'en situation de reproduction consanguine. Les partis politiques sont de même race quand bien-même ils se dénommeraient "droite" - "gauche" ou "centre". Même chose pour les journalistes. Tous les membres de ces "congrégations se livrent une lutte sans merci pour rester dans le poste de pilotage. Tous ceux obtiennent les faveurs des dirigeants de ce système sont instrumentalisés. Ils s'intrumentalisent d'ailleurs eux-mêmes dans le sens d'une mise en scène au sein de laquelle tous les comportements sont réglés comme du papier à musique. Ceux qui, à un moment donné, reguimberaient à s'y soumettre sont impitoyablement éliminés du circuit et ne peuvent y être re-intégrés qu'après un temps de purgatoire sévère, et en courbant la tête de la manière la plus chinoise et ostensible possible.

Les hommes et les femmes, journalistes ou personnages de télévision, ne sont pas, contrairement à ce que cette corporation a pratiquement positionné comme règle immuable dans le mental de leurs auditeurs et téléspectateurs, les seuls à être en droit de donner leur opinion ou exprimer celles de gens qui n'ont pas la possibilité de donner leurs avis dans les journaux ou à la télévision, sans y être expressément invités ou conviés, sans un "interprête" - journaliste bien sûr - qui transcrira bien ce qu'il en voudra; coupera ce qui ne lui plaîra pas; ou un "maître de ballet" qui ne leur laissera la parole que pour confirmer ce qu'il aura dit à leur place, y compris en restant bouche bée, interrompu qu'il est dès qu'il commence à entre-ouvrir les lèvres pour parler.

Car l'interwievé n'est devenu que la faire-valoir prétexte qui justifie la place du journaliste et l'impact sur le public du sujet à l'ordre du jour déterminé préalablement. Où irait-on, si le journaliste permettait à ses "invités" d'exprimer leurs pensées eux-mêmes en liberté ? Surtout si l'on apprécie ce qui peut être constaté, quant à la qualité de leur culture réelle comme à la qualité de leur style de pensée et de leur utilisation du langage...

Ceci dit, il faut reconnaître que TOUS LES JOURNALISTES NE SONT PAS A JETER DANS LE MÊME SAC QUE CEUX DONT JE VIENS DE VANTER LES QUALITES. Je cite des noms ? Non ! Je n'irais pas jusque là en public et dans ce secteur de mon site. Par contre, il n'est pas impossible qu'il en existe dans un autre... A vous chers lecteurs possibles d'aller les y chercher... Bonne chasse !


C'est une des motivations principales qui m'ont amené, comme beaucoup d'autres, à vouloir agir en protestation, et écrire ou entreprendre des travaux littéraires sur un Internet qui ne censure ni n'écarte nos propositions de communication, et ainsi pousser des coups de gueules "AUTREMENT", en utilisant pour cela ce que je crois savoir faire de mieux: "Utiliser la langue Française - son vocabulaire et la syntaxe !" Mais, comme disent certains: nous n'avons pas, pour la plupart: "le bras assez long pour saucer le fond de la poële". Aussi, l'impact que tous ceux qui réagissent ainsi éspèrent, est loin d'être récompensé par une réelle efficacité, ou un résultat, qui puisse être de nature à changer les choses - Ceci pour deux raisons majeures :

1/ les gens, menés intentionnellement à cet état par ceux qui "veillent à leurs destinées et leurs conforts", ne possèdent plus la culture nécessaire qui leur permettent d'apprécier des écrits qui tiennent compte justement de la valeur des mots et des règles selon ils doivent être choisis et ordonnés pour que leur ensemble constitué, exprime exactement la pensée profonde de l'auteur et, plus subtilement, en exprimer encore plus par l'utilisation du jeu des "sens cachés" - le fait d'être en mesure de "lire entre les lignes" ou "d'entendre entre les mots", là où réside parfois la vraie vérité d'un texte ou d'un discours.

2/ Malheureusement, et c'est la catactéristique de notre société moderne, les gens n'ont de surcroît plus la patience de lire... Or, pour exprimer une idée - pour écrire une oeuvre littéraire qui soit de nature à apporter une vérité quelconque, il est impératif d'utiliser les nombres de mots, et de phrases nécessaires. La synthèse n'est destinée qu'à la présentation de ce qui va mener le lecteur à cette dernière et, bien sûr à attirer son intérêt sur le sujet abordé. C'est l'objet d'une conception différente du texte.

Donc, en résumé, les contestataires, les pousseurs de coups de gueules, les intégristes de la vérité humaine, les inconditionnels de la justice, les démystificateurs, les traqueurs impitoyables de la bêtise, que nous représentons et que je baptise "les escaladeurs d'interdits..." - Nous avons du "mouron" à nous faire si nous éspèrons convaincre une majorité de gens à se pencher sur les milliers de phrases que nous écrivons... Ou plutôt: que nous pouvons encore écrire, tant que ceux que nous gênons, qui nous surveillent et nous étudient de près et en silence, n'auront pas mis au point un "truc de derrière les fagots" qui puisse fourvoyer l'influence que nous pouvons avoir sur la "réflexion des autres" - sur une voie de garage - là où plus personne, hormis l'écho de nos coups de gueules, ne nous répondra plus jamais. Liberté relative que nous possédons encore, si tant est que le fait que nous soyons des millions à agir ainsi, le choix des internautes est trop immense pour leur permettre de "tomber" sur "le site" - le mien ou d'autres - qui les amènent à vouloir prendre sa bannière pour la leur.

Mais le temps est patient - Au niveau de l'homme il est éternel et, à une parade il en existe toujours une autre. Viendra bien le jour où, si l'homme est encore vivant et dirige toujours son regard vers le haut, il découvrira suffisamment de secrets cachés dans le cerveau humain, pour comprendre et maîtriser le phénomène de la transmission de pensée

- Un rêve - le rêve ! Celui qui, enfin, obligera l'homme à ne plus pouvoir mettre au point une telle ou telle autre stratégie de nature à lui permettre "d'empapaouter" son voisin.

 

Alors, si peut représentatif du nombre, que je sois
pourquoi vouloir - COMMUNIQUER A TOUT PRIX,
si le tableau que je viens de proposer
semble si figé et indestructible... ?

Quels bénéfices l'individu et la société peuvent-ils en retirer ?

Un seul ! Celui qui permettra d'accéder à tous les autres !

Celui de dire non en Refusant de baisser la tête !

Pour éviter de comprendre le dernier jour,
qu'on n'a jamais été autre chose durant toute sa vie,
que de grosses araignées velues, solitaires et oubliées...


toujours invisibles, planquées sous une feuille,
attendant qu'une mouche s'attrape dans leur toile
et pouvoir la dévorer sans risquer de l'être elles mêmes !


Communiquer, c'est - vivre; c'est - espérer; c'est - évoluer
C'est - aller "vers le haut", "vers le "positif" !

Le changement, en termes d'évolution humaniste raisonnable, passe obligatoirement par la volonté de communiquer de ceux qui veulent vivre, espérer et évoluer en responsabilité !

Communiquer c'est - échanger ! C'est - se modifier en conscience de ses idées propres et de celles des autres au bénéfice de l'ensemble !

Communiquer c'est - Rester debout et ne pas baisser les yeux !

Communiquer c'est - refuser l'isolement programmé, refuser que notre voix ne se perde là où personne ne peut plus l'entendre, refuser de n'exprimer que ce que "d'en haut" on veut nous faire penser !

Communiquer c'est - rester fort, seul et ensemble ! C'est - se voir... Plus loin !

Ne pas communiquer, c'est - laisser à quelques minorités qui contrôlent le monde de la communication et tout le reste en conséquences, la faculté d'en profiter, seuls, à satiété, et très loin au dessus de ce qui est socialement admissible; et donc : le droit princier de nous créer de toutes pièces, le monde de nos désirs et de nos rêves, et d'ainsi transformer la majorité d'entre nous, en méchouis dé-cervelés, bons à tondre à discrétion avant d'être passés à la broche. Ne pas user de cette faculté, profite largement, et seulement, aux desseins de tous ceux qui grâce à cela, maîtrisent les courants d'opinions et partant, influer négativement sur l'expression de tous ceux (très nombreux) qui n'ôsent pas exprimer leurs sentimentsà propos des choses courantes de la vie, comme des choses de l'esprit. Ils détruisent dans l'individu la faculté d'auto-détermination quant à la valeur de son jugement sur le futur, à moyen et maintenant court terme, des libertés d'expressions que les pouvoirs comptent laisser à la partie de la société exclue des sphères "d'en haut"!

N'hésitez donc pas à utiliser vos possibilités de communiquer, que ce soit ici, ou ailleurs... Profitez-en aussi, pour décider un maximum d'autres que vous d'en faire autant et de répondre à vos sollicitations, afin de dénier ainsi cette tendance (voulue et entretenue ainsi) de notre époque à ne plus communiquer qu'à sens unique... Là où aucune âme ne peut vous entendre !

ALORS FAITES LE, CE PETIT EFFORT - PRENEZ LE TEMPS DE CRITIQUER... Pendant que vous avez encore ce luxe à votre disposition... Et ce: avant que le verbe communiquer ne soit censuré par Big-Brother

Une bonne nouvelle (c'est le cas de le dire)

Un recueil de textes et de poèmes de ce site, va être édité bientôt sous peu comme on dit. Alors j'ai dû les amputer un peu dans la présentation qui en est faite sur le site pour entrer dans les règles voulues par l'éditeur, de manière à ce qu'ils ne paraîssent plus que comme "extraits" - merci de votre compréhension. Toutefois en en faisant la demande, dans l'espace communication, ils pourront vous être proposés par envois spécifiques par Internet. Je vous tiens au courant...!



 

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